Bonjour,
Comme c’est un sujet qui a déjà été abordé ici, je trouve l’éclairage d’Éric intéressant et mesuré : Code en français – Carnet de notes (survol.fr)
Bonjour,
Comme c’est un sujet qui a déjà été abordé ici, je trouve l’éclairage d’Éric intéressant et mesuré : Code en français – Carnet de notes (survol.fr)
Mon biais est probablement évident. La pureté théorique rencontre souvent la réalité pratique. Le sentiment de cohérence me semble bien bien moins important que les problèmes rencontrés en utilisant plusieurs langues dans [le collectif].
Tant que je peux utiliser le français dans [un collectif] français constituée à 90% de francophones, la question ne se pose quasiment plus pour moi.
Peut-être qu’un jour [le collectif] devra s’internationaliser, soit avec des [contributeur⋅euses] dans d’autre pays, soit par un rachat. On prévoit ça comme un avenir souhaitable pour la croissance mais est-ce que ça va vraiment arriver ? À quelle échéance ? Est-ce qu’handicaper [le collectif actuel] en attendant est vraiment un bon investissement ?