Hum....
> Quelle que soit la licence originale, les détenteurs de la propriété
> intellectuelle (cad les auteur) peuvent toujours outrepasser cette
> licence originale et ceder des droits (sans oublier que cette cession de
> droits doit être strictement définie en ce qui concerne le support par
> ex.)
Imaginons: Ils 'cèdent' leurs droits à l'éditeur Tartempion...
On ne cède jamais "les droits". On cède "les droits pour..."
Nous ne sommes pas aux USA, mais en France, la propriété intellectuelle est
inaliénable. Ce qui n'empèche pas de signer un contrat d'exploitation "pour
quelque chose de précis".
Chez les anglo-saxons, la méthode est plus simple : l'éditeur achète les
droitsz sur ton bouquin, et ensuite peut editer le livre, faire un film (avec
épisode 2 et 3 prévus), faire une série TV, faire des emballages de menu
enfants dans les fast food etc.
En France, quuand tu 'vends' un manuscrit à un éditeur, tu ne lui vend que le
droit de l'imprimer.
C'est fondamentalement différent. Par exemple, c'est pour cette raison que des
films en VO ou en VF peuvent être différents (une exemple célèbre, Highlander
1). C'est parce que aux US, le producteur est propriétaire des droits, donc
il peut dire avant d'envoyer les bobines en salles "Cette scène là on la
coupe parce que : c'est politiquement incorrect|ça dure 5 minutes de trop
pour faire 4seances/jour | n'importe quoi
Onappelle ça le "final cut", aux US c'est le producteur qui l'a.
C'est aussi pour ça qu'en france on parle de "versions courte ou longue",
alors que chez les anglo-saxons on parle de version "producteur ou
réalisteur"
A moins de bien (vraiment bien) goupiller ça avec l'éditeur, je vois pas
comment tu échaperais à ca...
Si l'éditeur reprend des docs en FDL; il autorise aussi la reproduction de ces
parties, y compris par d'autres éditeurs.
S'il n'est pas d'accord, il est bien obligé de signer un contrat.