La question qui moi m'a parlé, c'est : «Est-ce que l'argent est un moyen ou un but ?».
Moi j'ai relevé ca, c'est a mon sens un debut d'analyse :
"Certes, les SSLL [...] restent propriétaires du temps et de l’ignorance de leur client. On peut imaginer ici toutes sortes de dérives possibles dans la mesure où ces mêmes entreprises convoquées sans détours à leur obligation de rentabilité pourront jouer plus ou moins clairement la carte de la transparence pour opérer des récurrences commerciales devant répondre aux récurrences de leurs coûts de structure. Tôt ou tard, les sociétés de logiciels libres seront confrontées à des mixages contre-nature.
On assiste en réalité à une instrumentalisation des logiciels libres, non seulement en tant que logiciels stricto sensu, mais également en temps qu’environnement symbolique porteur d’image et d’opportunités de business et vecteur d’un mode de production qui a fait largement ses preuves. Les entreprises [...] avancent masquées derrière les valeurs du logiciel libre. Ainsi drapées de vertus, elles peuvent se différencier positivement d’avec les SSII avec lesquelles elles entrent directement en concurrence."
Pour ceux qui n'aiment pas la GPL[1] (déja moins propice à la récupération commercial que les licences BSD[2] ), il y a la licence artistique [3].
Avant, je codais pour une boite et je ne reversais rien, maintenant, je code toujours, mais je reverse une partie de ce travail. Je pense que c'est un progrés. Ensuite, les objectifs commercials d'une SSLL est un AUTRE soucis. Oui IBM profite de l'image de Linux, et alors?
La question qui moi m'a parlé, c'est : «Est-ce que l'argent est un moyen
ou un but ?».
BoOz a écrit
Moi j'ai relevé ca, c'est a mon sens un debut d'analyse :
les SSLL [...] restent propriétaires du temps et de l’ignorance
de leur client. On peut imaginer ici toutes sortes de dérives possibles
Mathieu Lecarme fait remarquer
Pour ceux qui n'aiment pas la GPL[1] (déja moins propice à la
récupération commercial que les licences BSD[2] ), il y a la licence
artistique [3].
et il ajoute
maintenant, je code toujours, mais je reverse une partie de ce travail.
Je
pense que c'est un progrés. Ensuite, les objectifs commercials d'une SSLL
est un AUTRE soucis. Oui IBM profite de l'image de Linux, et alors?
3 personnes >> 3 approches >> il serait peut être intéressant (et ça l'est
pour moi)
de vous situer socialement (ou professionnellement) parlant car je suis
(presque) sûr
que vos remarques sont directement liées à votre statut - et ce n'est que
logique
Quoi qu'il en soit, l'analyse citée est très pertinente - mais je me garde
d'un avis impulsif