[spip-dev] [off-topic] chercher les url

Salut,

pour préparer une page "imprimable" d'un document spip, je cherche une
fonction capable de me ressortir la liste de sURL contenues dans une
article.

Ca existe déjà ?

Non. Par contre, si tu regardes les squelettes par défaut, ils affichent
automatiquement l'URL à côté des liens si tu les imprimes (grâce à une
jolie règle CSS).

Antoine wrote:

Non. Par contre, si tu regardes les squelettes par défaut, ils affichent
automatiquement l'URL à côté des liens si tu les imprimes (grâce à une
jolie règle CSS).

Génial sous Mozilla... :wink:
Sous IE 6, ça ne marche pas...
Un jour peu être !! (Au bon vouloir de MS)

@Bientôt
^Fabrice^^

J'en profite pour vous signaler un article collaboratif :

101 trucs que Mozilla sait faire et qu'IE ne sait pas
Titre de l'article original par Neil Deakin : 101 things that the
Mozilla browser can do that IE cannot.

lundi 16 décembre 2002, par mlb, Georges KHAZNADAR, Fabien ILLIDE,
Frédéric GAUTIER

source : http://clx.anet.fr/spip/article.php3?id_article=158

A+

Bonjour,

Une information pas directement liée au développement mais qui met en
évidence le fait que les applications propriétaires de gestion de contenu
sont jugées décevantes par les utilisateurs et que comme toujours les
aspects fonctionnels, la facilité de mise en oeuvre d'un produit et
l'interaction avec les utilisateurs sont les clés du succès d'un produit. Il
est vrai qu'au niveau des CMS, les produits commerciaux contrairement à SPIP
s'avèrent la plupart du temps être des machines à gaz difficiles à mettre en
oeuvre.

A+
Philippe

Gestion de contenu Web : des applications décevantes

Une enquête, réalisée par le cabinet d'études Jupiter Research sur
l'approche de la gestion de contenu Web des entreprises, montre que 61 %
des entreprises consultées ayant déployé un logiciel pour automatiser
l'édition de contenu sur leur site Web sont revenues à des procédures
manuelles. Et pour les autres, Jupiter a constaté que, dans bien des
cas, moins de 20 % des pages sont prises en charge par le système de
gestion de contenu (ou content management system, CMS). Seule une
entreprise sur les vingt qui ont été interrogées prévoit de migrer vers
un nouveau produit alors que le premier n'a pas apporté le retour sur
investissement escompté. Les autres tentent soit d'essayer de tirer un
meilleur profit du système dont elles disposent, soit l'abandonnent et
développent une solution par elles-mêmes.

Des ventes de logiciel divisées par deux

Le cabinet d'études en conclut que la gestion de contenu Web est un
domaine applicatif qui se caractérise par des produits coûteux,
complexes à installer et à utiliser au jour le jour. Ils peuvent
multiplier par cinq le coût d'exploitation d'un site Web par rapport à
une solution humaine, c'est-à-dire un webmestre. Il semble qu'une vision
erronée de la gestion de contenu de la part des directions
fonctionnelles soit à l'origine des déceptions engendrées par ces
applications. Elles les perçoivent comme un moyen quasi magique de
s'affranchir des contraintes informatiques. Or il n'en va pas ainsi, ce
qui provoque une frustration des deux côtés, fonctionnel et
informatique. Conséquence : selon le cabinet d'études, les jours des
plates-formes de gestion du contenu Web très haut de gamme et complexes
à installer sont comptés. Les entreprises seront de plus en plus amenées
à choisir une solution à périmètre fonctionnel plus limité comme les
modules proposés par les éditeurs de progiciels de gestion intégrés ou
de serveurs d'applications. Car le besoin d'outils de gestion des sites
Web est bien là. L'incapacité des éditeurs à satisfaire leurs clients a
bien évidemment un impact sur ce marché dont le potentiel avait été
évalué par Jupiter à 2,8 milliards de dollars à l'horion 2008. Mais
compte tenu de la médiocrité de l'offre, les ventes de nouveaux
logiciels ne seront que de 1,3 milliard de dollars, soit moitié moins,
ce qui est tout de même dommage.

Olivier Le Quézourec (VNUNET France

Des ventes de logiciel divisées par deux

(...) L'incapacité des éditeurs à satisfaire leurs clients a
bien évidemment un impact sur ce marché dont le potentiel avait été
évalué par Jupiter à 2,8 milliards de dollars à l'horion 2008. Mais
compte tenu de la médiocrité de l'offre, les ventes de nouveaux
logiciels ne seront que de 1,3 milliard de dollars, soit moitié moins,
ce qui est tout de même dommage.

Ah ce qu'on s'amuse !

"Des ventes divisées par deux", ça veut dire, normalement, que les ventes
ont atteint le niveau 100, et se trouvent aujourd'hui à 50. Mais pour le
cabinet Jupiter, ça veut dire, non pas que Jupiter s'est planté dans ses
projections, mais que la réalité n'a pas obéi au scénario fixé par
Jupiter... qui persiste tout de même à faire des projections pour 2008 :wink:

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